01 décembre 2022
Il faudra être chanceux, et réactif.
Si vous voulez aller voir les épreuves des Jeux Olympiques de Paris dans deux ans, il faut s’y mettre à partir d’aujourd’hui. Le comité d’organisation ouvre ce jeudi 1er décembre la première phase de sa billetterie pour les Jeux de Paris, sous la forme d’une loterie.
Une inscription avant un tirage au sort
Vous avez jusqu’au 31 janvier prochain pour vous inscrire si vous voulez acheter un pack « sur mesure », comprenez un achat groupé sur au moins trois des 32 disciplines qui auront lieu entre le 26 juillet et le 11 août 2024. L’inscription ne prend que quelques minutes sur le site officiel de Paris 2024.
La 1ère opportunité d'obtenir des billets pour les Jeux Olympiques de #Paris2024, ça commence jeudi !
— Paris 2024 (@Paris2024) November 28, 2022
Inscris-toi entre le 1er décembre 2022 et le 31 janvier 2023 pour participer au tirage au sort des packs sur mesure ????
+ d'infos : https://t.co/69KhSVN6zg #roadtoparis2024 pic.twitter.com/beJ99yUp8g
Dans un second temps, entre le 15 février et le 15 mars 2023, une phase de tirage au sort aura lieu avec toutes les inscriptions enregistrées pendant deux mois. Les chanceux tirés au sort auront alors 48 heures pour valider leur panier en composant leur pack « sur mesure » avec au moins trois billets pour trois disciplines différentes. Ce panier sera limité à 30 billets maximum par compte, et six billets au plus par discipline.
En tout, il y aura 13 millions de billets en vente dont 10 millions pour la phase olympique de la compétition. Un million de billets seront vendus à 24 euros l’unité et près de la moitié des billets grand public seront à moins de 50 euros. D’ici votre tirage au sort (on l’espère pour vous !), vous pouvez déjà commencer à voir quelles épreuves vous intéressent pendant la compétition en consultant le calendrier officiel des épreuves des Jeux de Paris.
Des billets à l’unité vendus également plus tard l’année prochaine
Si vous n’êtes pas tirés au sort d’ici le 15 mars, tout n’est pas perdu pour autant.
Par Thomas Bantchik